ADOBE PHOTOSHOP ELEMENTS 12 ET PREMIERE ELEMENTS 12 : SOUS LE SIGNE DE LA MOBILITÉ
La douzième édition de ce couple collaboratif, même si elle apporte sa dose fonctionnelle, est plus partageuse. Avec l’objectif la diffusion d’albums mobiles via la plateforme de stockage Adobe Revel.
Une nouvelle option de l’onglet Partager de l’Organiseur commun à Photoshop Elements et Première Elements envoie photos et vidéos gérées par le couple vers des albums composant votre bibliothèque sous Revel. Inversement, un mécanisme propose de faire apparaître, dans le catalogue sous la bannière Albums Mobiles, des éléments de votre smartphone ou tablette. Ce qui se pratique, une fois la connexion établie avec Adobe Revel, par de simples cliquer/glisser.
JPEG - 194.4 ko
La correction par l’exemple.
JPEG - 138.4 ko
L’édition guidée d’une vieille photo.
JPEG - 150.1 ko
L’Organiseur distingue albums locaux et mobiles.
JPEG - 57 ko
Des photos du disque dur, placées dans un album mobile et affichées sur un iPhone.
L’apport de l’édition numérotée douze amène :
L’affectation par cliquer/glisser d’une étiquette de Personnes, Lieux ou Événements vers des photos de l’index visuel.
L’application immédiate d’un effet, d’une texture, d’une bordure à l’image comme le pratique une majorité d’applications mobiles.
La correction des yeux verts ou jaunes dus à l’éclair du flash sur le visage d’animaux familiers.
L’extension du nombre d’activités guidées : effet de zoom, effet de puzzle, restauration de vieille photo…
Le déplacement d’objets ou de personnes dans une photo avec reconstitution de l’arrière-plan.
La reconstitution de l’arrière-plan après un redressement de l’horizon.
La commande Auto Smart Tone qui modifie couleur et tonalité d’une photo par l’exemple, avec autoapprentissage servant à présenter votre choix lors d’une sollicitation ultérieure.
Le partage vers Twitter.
On constate que Camera Raw n’a fait l’objet d’aucune évolution en matière de traitement des corrections optiques, avec une prise en charge des profils d’objectifs ou l’adoption d’un algorithme éradicateur. Dommage, car a minima une intervention automatique sur les aberrations chromatiques aurait été bienvenue.
Premiere Elements (montage vidéo et commandes de création de DVD et Blu-ray) comme le fait déjà Photoshop Elements, dispose d’un mode d’édition guidée pour certains travaux de base (transition, ajout de sons…), facilitant la prise en main. Le logiciel de montage offre quelques fonctions supplémentaires :
Tout graphique ou texte associé à un élément mobile suit ce dernier lors de ses mouvements (motion tracking.
Introduction de calques de réglages vidéos, facilitant le traitement de plusieurs séquences.
La commande Auto Smart Tone sert à modifier couleurs et tonalité d’une séquence par l’exemple, et facilite cette intervention à d’autres clips grâce à un autoapprentissage qui peut être inhibé.
Quatre FilmLooks, offrant des rendus « hollywoodiens » typés, complètent ceux de la version antérieure, dont le traitement croisé.
Sons d’ambiance et effets sonores.
Introduction de calques de réglages vidéos, facilitant le traitement de plusieurs séquences.
Chaque logiciel est vendu 99 €, avec la faculté de se procurer les deux pour 150 €. Les mises à jour sont quant à elles facturées 81 € pour le logiciel seul ou 123 € pour les deux.